La pâtisserie sans gluten, c’est souvent un peu décourageant pour qui veut la pratiquer en dilettante : quand on découvre la liste des ingrédients de certaines recettes, avec trois types de farines différentes et diverses gommes épaississantes, c’est intimidant et on n’a pas forcément envie d’investir pour que tout ça finisse par rancir dans un placard.
Des sablés au chocolat sans gluten « naturellement »
Je suis donc bien plus attirée par les recettes naturellement sans gluten, qui utilisent des ingrédients « normaux » — notion toute personnelle, j’en conviens. Et c’est le cas de ces sablés au chocolat, que l’on peut préparer en deux temps trois mouvements, sans robot ni rien, à partir de seulement quatre ingrédients : de la poudre d’amande, du cacao en poudre, du sucre et du beurre demi-sel.
De divins petits palets, croustillants à l’approche puis fondants dans un second temps, peu sucrés mais forts en chocolat, avec des notes un peu torréfiées et la touche de sel qui change tout.
Sur la base d’une formule aussi simple, on est bluffé de croquer dans ces divins petits palets, croustillants à l’approche puis fondants dans un second temps, peu sucrés mais forts en chocolat, avec des notes un peu torréfiées et la touche de sel qui change tout.
Ces sablés au chocolat sans gluten, c’est une idée de recette qui me trottait dans la tête depuis longtemps, et un partenariat avec la marque Alfapac m’a donné l’occasion rêvée de la développer. Le but du jeu, c’était de proposer une réalisation qui mettrait en lumière leur papier cuisson naturel : un papier non blanchi, fabriqué à partir de fibres vierges de pins issus de forêts des Landes gérées durablement, et qui a reçu le label Origine France Garantie.
Je ne connaissais pas ce produit, que j’ai donc pu tester en amont, et je l’ai trouvé vraiment agréable à l’utilisation. D’abord, j’aime la teinte naturelle un peu kraft qui donne meilleure mine aux pâtisseries mais ça, j’avoue, c’est de la coquetterie. De façon plus pragmatique, j’apprécie qu’il soit siliconé sur les deux faces (pas besoin de s’inquiéter du « bon côté ») avec un effet anti-adhésif vraiment efficace, et son format généreux (40 cm en largeur) le rend idéal pour chemiser les plaques à pâtisserie standard, sans gâcher de papier.
Et pour une recette comme celle-ci, c’est le papier idéal : on s’en sert pour rouler les boudins de pâte et les emballer pour leur séjour au congélateur, puis pour recouvrir la plaque pendant la cuisson, et enfin la feuille peut être glissée avec précaution sur une grille pour attendre le complet refroidissement des sablés, qui seront alors prêts à être croqués.
Je veux tout savoir !
Vous aussi, les recettes à la gomme de guar et à la farine de perlimpinpin, ça vous décourage ? Y’a-t-il des recettes ou des circonstances qui vous ont convaincu de vous constituer un fond de placard ? Et avez-vous vos habitudes en ce qui concerne le papier de cuisson ?
PS: Vous pouvez retrouver toutes mes recettes sans gluten, et si vous avez investi dans un sac de poudre d’amande (je l’achète au kilo chez G. Detou), voici plein d’autres recettes pour l’utiliser.
PPS: Notez qu’Alfapac organise en ce moment un grand jeu 100% gourmand qui permet soit de gagner instantanément et sans obligation d’achat des lots autour du thème culinaire (jusqu’au 30 novembre), soit de participer à un tirage au sort en fournissant une preuve d’achat d’un produit Alfapac portant l’offre (jusqu’au 20 décembre). Rendez-vous sur le site et bonne chance !
Ce billet est sponsorisé par Alfapac, le fabricant du papier cuisson naturel que j’ai utilisé pour cette recette. Toutes les opinions exprimées sont les miennes.
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