Les supermarchés parisiens ne donnent plus de sacs en plastique gratuits depuis l’année dernière : soit vous apportez votre propre sac, soit vous achetez un grand cabas réutilisable, soit vous achetez un petit sac en plastique si vraiment c’est vraiment ça que vous voulez vraiment.
Contrairement à ce qui est écrit sur leur site et qui n’engage que leur service marketing, les cabas qui sont vendus aux caisses de mon supermarché sont laids. Je reconnais néanmoins qu’ils sont solides et qu’ils ont une grande contenance, ce qui les rend bien pratiques quand on a beaucoup de choses à acheter ou, d’une façon générale, beaucoup de choses à transporter, comme par exemple quand il faut descendre des vieux trucs à la cave.
Mais pour le reste de mes courses, lorsque je vais chez les commerçants de mon quartier, ou pour les achats impromptus que je fais ici ou là, je garde dans mon sac à main un petit cabas escamotable.
En réalité, j’en ai deux. Le premier est un sac chocolat de chez Monoprix, vendu avec un petit pochon à scratch dans lequel on le range, soigneusement plié ou en bouchon, c’est selon. Le second est un sac flip & tumble bleu azur créé par deux jeunes femmes fraîchement diplomées d’une formation en design à l’université de Stanford en Californie, oui madame. Celui-là est un peu plus futé, puisqu’il se roule en boule et s’emballe dans la poche intérieure prévue à cet effet, ce qui n’est pas sans me rappeler mes années k-way.