14 ans de blog, 14 leçons de vie

Voulez-vous savoir ce que j’ai fait il y a quatorze ans jour pour jour ? Je me suis créé un blog ! Sur la cuisine ! Et je l’ai appelé Chocolate & Zucchini, parce que ça sonnait bien, parce que j’aimais le chocolat, et parce que j’aimais les courgettes. (Par bonheur, c’est encore le cas.)

Ces quatorze années ont été une aventure incroyable, et la plupart des belles choses qui peuplent ma vie aujourd’hui proviennent, directement ou indirectement, de cette décision.

Où en serais-je, qui serais-je si je n’avais pas créé C&Z ? Impossible de le savoir et ça me donne un peu le vertige d’y penser, mais je ne peux pas imaginer chemin de vie plus satisfaisant et plus heureux. (C’est un chouette sentiment.)

Pour fêter ça, je vous ai préparé ce petit bonus à télécharger :

Je veux d’abord vous remercier, que vous me lisiez depuis quatorze secondes, quatorze semaines ou quatorze ans. Rien de tout ça n’aurait de sens, rien de tout ça ne serait même possible, sans votre intérêt et votre fidélité.

J’ai beaucoup appris, beaucoup réfléchi et beaucoup grandi au cours des quatorze dernières années, et aujourd’hui j’ai envie de partager avec vous quatorze leçons de blog et de vie. J’espère que certaines feront écho en vous ; je suis impatiente d’en discuter !

1. Se faire plaisir avant toute chose

Si vous créez des choses, et ce quel que soit le médium ou la discipline, y a une infinité d’axes que vous pourriez explorer, une infinité de sujets que vous pourriez aborder, dont vous pourriez vous inspirer… Comment éviter de se sentir débordé, paralysé devant tant de choix ? En utilisant les seules boussoles qui comptent : votre passion et votre curiosité.

Lorsque je décide de quoi parler avec vous sur C&Z, c’est toujours ma première question: Est-ce que l’idée me ravit, me passionne ? Si ce n’est pas le cas, qui d’autre s’y intéressera ?

Évidemment, ce n’est pas le jackpot à chaque billet. Mais la passion est ma ligne éditoriale et j’aime à penser que, au fil du temps, tout ça forme — pour les lecteurs qui partagent mes valeurs — une source d’inspiration unifiée et cohérente.

2. Être utile

Quand on partage quelque chose avec les autres, il est certes important que le moteur principal soit sa propre passion (c’est le point 1), mais l’angle et la façon dont on partage doivent être axés sur les autres. Mes lecteurs ne sont pas un miroir me permettant d’admirer à quel point je suis intelligente et créative. Mon but, quand vous venez me voir, c’est que vous repartiez avec des idées fraîches, de l’inspiration et de la joie de vivre, en ayant appris quelque chose de nouveau qui vous sera utile à vous.

Rien ne donne plus de sens à la vie que d’être en position d’aider les autres, de partager ce qu’on sait, d’offrir son expérience, et de montrer le chemin à ceux qui veulent nous emboîter le pas.

3. La connexion, c’est de l’or

Ça va vous paraître fleur bleue, mais c’est vrai : je suis sincèrement et profondément reconnaissante pour chaque personne qui trouve Chocolate & Zucchini, s’arrête un instant pour lire ce que j’écris, me donne la permission de lui envoyer ma newsletter ou achète un de mes livres.

Ce sentiment de gratitude immense, je le mets en pratique en accordant de la valeur à chaque interaction, si menue soit-elle. Je fais de mon mieux pour répondre à tous les commentaires, à tous les e-mails, à toutes les mentions sur les réseaux sociaux. Est-ce tenable dans la durée ? Probablement pas. Est-ce que je continuerai jusqu’à ce que ça ne soit vraiment plus tenable ? Absolument.

Mais surtout, être généreuse — de mon temps, de mon attention, de ma gentillesse, de mes connaissances et, quand on y vient, de mon argent — est une valeur que je place au-dessus de toutes les autres. Ces quatorze années m’ont montré avec certitude qu’Internet est régi par des lois du karma, et qu’on récolte ce qu’on sème. Je préfère être du bon côté de la Force.

4. Faire autre chose

Pour ceux d’entre nous qui sont animés d’une passion unique et intense, il est tentant de lui donner TOUTE LA PLACE. De vivre, de respirer, de dormir, de parler et de lire à travers le filtre de cette passion, à chaque instant et tous les jours. C’est ce que nous aimons par-dessus tout, n’est-ce pas ?

En réalité, on est bien mieux inspiré de cultiver (aussi) d’autres centres d’intérêts. Ça évite la saturation et le burnout, ça crée un équilibre dans notre vie, et ça peut au final alimenter notre passion principale de façon inattendue, en lui insufflant de nouvelles perspectives et de nouvelles inspirations.

C’est pour ça que je ne regarde pas d’émissions de cuisine et que je ne lis plus beaucoup de romans autour du sujet. En marge de mes activités principales autour de la cuisine et de l’écriture, je sais que je dois alimenter (ha ha) mes autres amours : dessiner, coudre, écouter des podcasts, aller voir des expos, apprendre des poèmes… Les bénéfices sont évidents quand je suis ce conseil.

5. Se donner la permission de grandir

Vous avez le droit de changer. Vous avez le droit de changer d’avis. Vous avez le droit de faire des choses que vous aviez juré que vous ne feriez jamais lorsque vous pensiez savoir tout sur tout (*tousse* avant d’avoir des enfants *tousse*). Ce n’est pas trahir qui vous étiez ; c’est grandir, tout simplement, et c’est une bonne chose. Vous pourrez arrêter de grandir quand vous serez mort.

J’ai eu une poussée de croissance majeure, sans surprise, quand j’ai eu des enfants. C’est un changement d’identité si phénoménal qu’il m’a fallu quelques années pour vraiment épouser mon nouveau moi dans la vraie vie (ils ne vous disent pas ça dans les livres de grossesse) et ensuite sur mon blog.

Je me souviens avoir été mal à l’aise avec ça pendant un certain temps. J’étais déterminée à ne rien changer du tout du tout, à ne surtout pas devenir une de ces femmes englouties par la maternité, et je me suis sentie piquée les deux fois (mais deux seulement) où un lecteur m’a dit sans détour : « J’aimais mieux votre blog quand vous n’aviez pas d’enfants ».

Rétrospectivement, mon seul regret est d’y avoir accordé autant d’importance. (Il faut dire que j’étais chroniquement épuisée et que ça n’aide pas à prendre du recul.) Avec le temps, j’ai pleinement adopté cette partie de moi qui est mère, et je peux maintenant décider avec fluidité quand il est pertinent de mentionner mes enfants, et quand ça n’apporte rien au sujet.

Quand on change, on gagne et on perd. C’est comme ça, rien à faire, et s’en inquiéter est un gâchis d’énergie. J’espère que je me souviendrai de cette leçon lors des nouveaux changements qui se présenteront inévitablement sur ma route.

6. Essayer de nouvelles choses

Nos vies modernes sont souvent des prouesses d’équilibristes. Quand on a trouvé un certain équilibre, c’est assez effrayant de le modifier, surtout pour ceux d’entre nous qui ont une forte aversion au risque et perdent tout le temps au Monopoly. Mais si on arrive à se mettre dans un état d’esprit d’expérimentation en mode « Essayons et voyons », c’est très libérateur. C’est l’expérimentation qui maintient jeune et agile ; les échecs sont autant d’occasions d’apprendre.

La bonne question à se poser, c’est : « Quel est le pire qui pourrait arriver si je fais ça ? » Je veux dire, vraiment, le pire du pire ? Est-ce que c’est si grave que ça ? Et pourquoi est-ce que ça nous fait si peur ?

En quatorze ans de Chocolate & Zucchini, j’ai vu beaucoup de tendances arriver, repartir, ou parfois rester pour de bon. Personne ne sait ce que telle ou telle nouveauté va donner, et les prédictions des experts valent bien les vôtres ou les miennes. Ma démarche consiste à voir émerger les nouveaux outils et les nouveaux usages non comme des commandements (« Allez, tous sur Snapchat ! ») mais comme des nouveaux jouets avec lesquels m’amuser.

Pour ceux qui éveillent ma curiosité, si je pense qu’ils peuvent ajouter quelque chose à mon site, à mon message et à mes interactions avec vous, et si je suis dans un chapitre de ma vie où j’ai le temps, j’expérimente, et ensuite j’évalue. Est-ce que je peux adopter cette nouveauté de façon réaliste et — très important — qu’est-ce qu’il faut que j’abandonne pour lui faire de la place ?

7. Focus

Une de mes maximes préférées est À l’impossible, nul n’est tenu.

C’est-à-dire : on ne peut pas être tout pour tout le monde, s’impliquer dans tous les projets qui se lancent, mettre en oeuvre les milles idées qui nous viennent chaque jour, se tenir au courant de toutes les nouveautés et de toutes les tendances, dire oui à toutes les opportunités, rencontrer toutes les personnes qui nous intéressent, courir toutes les courses.

Mieux vaut s’en remettre au principe de Pareto (20% de nos efforts produisent 80% de nos résultats), avec un peu d’Essentialisme et une bonne dose de The ONE Thing.

Et s’il vous est difficile de laisser passer certaines opportunités, rappelez-vous que la vie s’articule en chapitres — sur les plans personnel, relationnel, spirituel, professionnel — et soyez clair sur ce que vous voulez pour le chapitre que vous êtes en train de vivre. Vous ferez des réserves d’énergie et de fraîcheur pour le chapitre suivant, quand vous déciderez qu’il est temps de consacrer votre attention à autre chose.

Par exemple, j’ai consacré plusieurs mois à l’écriture de mon prochain livre de recettes, Tasting Paris, qui sortira au printemps prochain. J’étais ravie de travailler dessus, mais c’était en même temps frustrant de devoir mettre en pause toutes sortes d’autres projets passionnants qu’il me démangeait de poursuivre. Ce n’est qu’avec plus de plaisir que j’ai pu, une fois le manuscrit bouclé, lancer mon podcast.

8. Faire du sommeil une priorité

J’ai longtemps été très à cheval sur mes huit heures de sommeil (savez-vous que je n’ai jamais fait une nuit blanche de ma vie ?). Puis, j’ai eu à m’occuper de nouveau-nés et j’ai découvert qu’en fait, je pouvais tenir avec beaucoup moins. Pas confortablement, mais quand même.

Depuis, je négocie souvent avec moi-même sur l’heure du coucher, en me disant que je peux me permettre de passer un touuuuut petit peu plus de temps (souvent sur mon ordi) à faire ci ou ça, comme si ces heures nocturnes étaient un cadeau bonus. Ce n’est jamais une bonne idée, et je finis toujours par le regretter. C’est donc un point en cours, mais j’y travaille !

9. Investir en soi

J’ai lu un jour un article de conseil financier qui disait que si vous avez de l’argent à investir, l’investir dans votre propre formation et votre croissance personnelle vous donnera le meilleur taux d’intérêt possible, si ces nouvelles forces et compétences vous permettent de mieux gagner votre vie au final. Cet article parlait d’espèces sonnantes et trébuchantes, mais faire quelque chose qui vous plaît vraiment ou améliorer la qualité de votre vie intérieure ont tout autant (voire plus) de valeur à mes yeux.

Cette idée m’a marquée, et depuis je suis beaucoup plus proactive pour investir du temps et de l’argent à apprendre de nouvelles choses, développer de nouvelles compétences, réfléchir sur moi-même et affûter mon savoir-faire.

Donc je lis plein de livres sur l’entreprenariat, la productivité, le développement personnel. Je suis aussi membre depuis plusieurs années de la communauté Food Blogger Pro, j’ai suivi les cours de photographie culinaire géniaux de la Food Photography School, je fais partie du programme de coaching de Brooke Castillo, je travaille sur la qualité de ma voix

10. Penser comme un pro

Comme j’ai créé Chocolate & Zucchini par pure passion et que je me suis fabriqué un métier au fil de l’eau, il m’a fallu du temps pour me mettre dans un état d’esprit résolument professionnel. Pour être plus claire, j’ai pris les choses 100% au sérieux depuis le premier jour — c’est mon tempérament — mais j’ai parfois tardé à mettre en place des systèmes bien structurés autour de mes activités.

La transition de l’amateur au professionnel est subtile, mais ça peut signifier par exemple documenter ses processus de façon précise et détaillée (pour mieux les analyser, les rationaliser, les déléguer), accepter de payer pour des services et des outils de qualité (s’ils vous rendent plus efficaces ), assembler des boîtes à outils (réelles ou virtuelles) pour telle ou telle tâche, et prendre le temps de bien tout mettre en place avant de vous y attaquer, pour ne pas être en mode impro à chaque fois, ce qui est épuisant.

J’en ai fait l’expérience avec mon dernier livre de cuisine. Tasting Paris sera mon cinquième livre, et quand je travaillais dessus, j’ai eu pour la première fois ce sentiment délicieux de savoir exactement comment procéder : j’étais devenue pro. Le développement des recettes, les tests dans ma cuisine, l’écriture, la coordination de l’équipe de testeurs, les recherches, les interviews, la vérification des derniers détails… Tout ça prend du temps, mais j’avais une idée claire et précise de ma façon de mener le projet. Il ne restait plus qu’à exécuter pour voir le livre prendre forme (presque) tout seul. C’est assez galvanisant.

Bien sûr, l’expérience est indispensable pour devenir pro et on ne peut pas prendre de raccourci, mais une chose que nous pouvons tous faire est de penser comme un pro dès que nous entreprenons quelque chose de nouveau. Avoir une vue d’ensemble et établir des systèmes dès le début, c’est autant d’efforts économisés par la suite.

11. Construire une équipe

J’ai tout fait toute seule pendant douze ans — mis à part le soutien inestimable de Maxence — mais il y a deux ans j’ai commencé à me faire accompagner d’une assistante, et ça a révolutionné ma vie professionnelle en l’améliorant de façon exponentielle.

Non seulement je peux aller plus vite et plus loin parce que nous avons à nous deux plus d’heures de travail, mais c’est aussi incroyablement gratifiant de partager ce que je sais. En discutant de mes idées avec quelqu’un d’autre, je les enrichis et je gagne en clarté. Je bénéficie de ses propres idées lumineuses, de ses talents et de son point de vue. Et en partageant les petites choses du quotidien professionnel avec quelqu’un qui est dans le même bateau, on développe un vrai sentiment de solidarité et de complicité.

Donc, si vous travaillez seul et si vous envisagez la possibilité de prendre quelqu’un d’autre à bord — un stagiaire, un apprenti, un assistant — je vous dis : faites-le ! Faites-le maintenant ! Faites-le hier ! C’est merveilleux! Vous ne regretterez que de ne pas l’avoir fait plus tôt !

12. Networker avec le coeur

À l’époque où j’étais ingénieur en informatique, je feuilletais parfois ces magazines du secteur ultra ennuyeux que je croyais que je devais lire, et je tombais sur des articles qui parlaient de l’importance du réseau. Ça me remplissait d’angoisse et de culpabilité. Je n’avais pour ainsi dire pas de réseau, et je ne voyais pas où puiser la motivation pour créer et cultiver ce genre de relation.

Une partie du problème, c’est que j’étais trop jeune pour saisir le concept ; avec le temps et la maturité, j’aurais sans doute fini par comprendre l’idée. Mais surtout, je comprends maintenant que le meilleur réseau est le réseau que vous développez spontanément et par plaisir, sans vous rendre compte que vous êtes en train de networker.

Pour moi, c’est par exemple : prendre contact avec les personnes dont j’admire le travail ; rencontrer quelqu’un et envoyer un petit mot par la suite juste pour dire que vous avez passé un bon moment ; participer à un événement juste parce qu’il m’intéresse, sans but particulier ; m’ouvrir aux autres avec simplicité, et apprécier les efforts de ceux qui font de même ; tomber sur un article ou un podcast et l’envoyer à untel ou untel parce que ça m’a fait penser à lui ; mettre en contact deux personnes parce qu’elles ont beaucoup en commun et que je les apprécie toutes les deux ; envoyer un e-mail à quelqu’un que je ne connais pas très bien pour lui dire que j’ai rêvé qu’on travaillait ensemble sur un projet (ce qui s’est effectivement réalisé plusieurs fois !).

En bref, il s’agit d’apprécier les autres, ce qu’ils sont et ce qu’ils font, et envoyer de la bonne énergie dans leur direction. Sans rien attendre en retour, mais en sachant que de bonnes choses viendront à vous simplement parce que vous êtes une force positive dans le monde. (J’espère ne pas vous avoir perdu en route, mais je suis convaincue de ça.)

13. Le temps est élastique

Il est tout naturel d’imaginer que, si on a plus de temps dans la journée ou la semaine, on va pouvoir accomplir plus de choses. Mais la productivité est une chose capricieuse, et je m’aperçois que je fais un bien meilleur usage de mon temps quand j’ai moins d’heures pour travailler.

Je m’en suis aperçue, à contrecoeur pour commencer, lorsque deux petits êtres humains adorables sont entrés dans ma vie en quelques années. Quand j’étais à la maison pour m’occuper de mes fils pendant quelques mois après leurs naissances, le temps d’ordinateur était rare et, dès la seconde où j’étais assise, je travaillais avec une efficacité historique — le degré zéro de la procrastination.

J’ai également remarqué que mon cerveau avançait tout seul sur différents sujets même quand je n’étais pas physiquement à mon bureau, les gouzi-gouzi et les câlins ne prenant pas 100% de ma bande passante mentale. Je pouvais, par exemple, m’asseoir et écrire d’une traite un e-mail un peu délicat, parce que les phrases se composaient dans ma tête depuis un moment.

Aujourd’hui, ça signifie deux choses. 1. Si je vois que je vais avoir moins de temps pour travailler sur mes projets pendant une certaine période, je ne m’abandonne pas au stress ni au désespoir. Je sais que les tâches vont, dans une certaine mesure, s’adapter au temps dont je dispose.

Et 2. J’essaie de garder en tête cette élasticité-temps lorsque j’organise mes horaires de travail, en me rappelant que je peux prendre une demi-journée pour quelque chose de chouette (aller à la piscine avec mon aîné), d’inspirant (aller voir une expo), ou simplement nécessaire (emmener mon cadet à un examen médical) et que ça va se lisser sur le reste de la semaine.

Si le sujet vous intéresse, vous aimerez sans doute ce petit bonus que je vous ai préparé :

14. Encadrer ses pensées

Je me suis de plus en plus intéressée ces dernières années au développement personnel avec des influences plutôt américaines, et j’ai découvert comme un ciel se dégage que nous ne sommes pas nos pensées, que tout ce qu’on se dit dans notre tête est facultatif et modifiable, que nos pensées créent notre réalité, et que si on veut se sentir mieux, il faut d’abord penser autrement.

Tout un programme, tout un cheminement, dont j’ai fait le sujet de mon nouveau podcast Change ma vie : Outils pour l’esprit, que vous pouvez retrouver dès aujourd’hui sur iTunes.

Baguette

J’espère que ce billet vous aura inspiré des réflexions intéressantes pour votre vie et vos projets. S’il vous a plu, n’hésitez pas à me le dire dans les commentaires ci-dessous, et retrouvez-moi aussi sur Change ma vie !

Ne ratez pas : Une Journée avec… si vous avez envie de voir à quoi ressemblent mes journées !

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